Modifications

Aller à : navigation, rechercher

Petits plans d’eau/Informations de base

11 octets ajoutés, 28 juin 2020 à 08:23
aucun résumé de modification
En '''Haute-Souabe''', se trouvent plus de 2000 plans d’eau relativement grands, parmi lesquels de très nombreux étangs qu’on peut vidanger. Ils ont été aménagés au Moyen-Âge pour la pisciculture avant tout. Les étangs étaient autrefois régulièrement vidés aussi bien en été qu’en hiver. Les étangs qui servent aujourd’hui à la pisciculture sont utilisés de façon bien plus intense : chaulage, apports de nourriture et d’engrais. Entre 1991 et 1994, des recherches à grande échelle ont été entreprises sur leurs caractéristiques limnologiques et biologiques, notamment au regard du plancton, des amphibiens, des libellules, des poissons, des macro-invertébrés, des plantes, de la végétation et de la banque de diaspores.
Dans '''la Dombes''', on trouve 1300 étangs sur une surface de 1000 km2km<sup>2</sup>. C’est le plus grand réseau d’étangs et, après la Camargue, la deuxième plus importante zone humide de France. Les étangs ont été aménagés au Moyen-Âge pour la pisciculture par les monastères. Ils sont régulés par des moines<!---wenn vorliegend: #interner Link zu Bautypen und technische Einrichtungen/Technischen Einrichtungen --->. Ils font aujourd’hui partie d’un système économique où agriculture, pisciculture et chasse sont intimement liés. Les étangs peuplés de carpes sont vidés tous les 2 à 5 ans en hiver, et asséchés tous les 4 à 5 ans en été (prolongation de la vidange hivernale jusqu’à l’été suivant). Malgré l’apport de chaux et d’engrais dans les étangs et une pisciculture intensive, la biodiversité est très élevée, ce qui a pu être démontré dans un programme de recherche de 2007 à 2010. Il semble que ce soit avant tout la gestion des étangs qui est responsable de la grande diversité. En raison d’une rentabilité de la pisciculture en baisse, il faut s’attendre à ce que le nombre d’étangs exploités diminue.
On peut résumer comme suit les résultats des études en Haute-Souabe :

Menu de navigation